Vidéos sur lesquelles on voit Rav Ron Chaya, prédicateur vedette de la Thora dans le monde entier, et dont les cours sont visibles sur son site internet Leava.
Il nous explique « à quel point c’est crétin leur histoire » ; que l’évangile ce sont « des bêtises », que Jésus n’était qu’un « sorcier », qu’on ne sait même pas, d’ailleurs, s’il a existé, qu’en tout état de cause c’était un « faux prophète », et « un faux prophète, tu le tues », c’est dans la Thora.. .
http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2007/12/07/le-judaisme-tel-qu-il-est.html
vendredi 18 janvier 2008
Sommes nous libre dans notre judéocratie ?
Comme vous le savez, la justice politique est à l'oeuvre en Fwance. A peu près tous les leaders patriotiques sont traduits en justice pour des motifs dérisoires et condamnés à des amendes faramineuses. On peut citer le Pen, Gollnisch, Mégret, les Identitaires et il y en aurait d'autres, tous pour délit d'opinion. Quand le Pen répète ce qui est dans les livres d'Histoire du lycée, à savoir que l'occupation a été moins dure en France qu'en Europe, il est lourdement condamné. Dans le même temps, Frêche qui traite ouvertement les harkis de sous-hommes est relaxé en appel.
Au Canada, c'est pareil (de même qu'en Allemagne, Belgique etc...) :
Un groupe conservateur canadien-anglais fait circuler présentement une pétition visant à réduire le pouvoir de la Commission des Droits de la Personne. Nous avons remarqué ces dernières années au Canada une augmentation des condamnations pour divers délits "haineux" dépassant largement le cadre des compétences de ce tribunal qui agit en fait en-dehors de la justice canadienne. Ce tribunal, qui agit presque en huit-clos, peut condamner quiconque à des amendes ridiculement élevées et ce malgré le fait que l'accusé ait pu être jugé et condamné par la justice criminelle de sa province. Tout nationaliste (ou même croyant) au pays est maintenant sujet à des poursuites et des amendes s'il exprime ses opinions.
Ces décisions dépassent largement le cadre des discriminations à l'embauche, au travail ou au logement qui étaient au début le champ de compétence de cette Commission. De plus, il est très difficile de gagner une cause devant cette Commission lorsqu'on est défendant.
Dernièrement, cette Commission des Droits de la Personne a même cru bon de s'introduire dans la vie politique du Québec en condamnant et en demandant de retirer le projet de loi du Parti Québécois sur l'identité québécoise. Cela représente une dangereuse dérive. Par quel droit cette commission est-elle apte à donner son opinion sur les projets de loi des partis politiques?
Voici enfin quelques-unes des récentes décisions de cette Commission :
-Le 24 novembre 2007, la Commission ordonné à Paul Fromm de verser 30 000$ à l'avocat anti-raciste Richard Warman pour diffamation sur internet. Paul Fromm est un activiste canadien et anime une émission radio sur Stormfront.
-Au début 2007, deux jeunes skinheads devront verser 50 000$ à leur victime malgré le fait qu'ils ont été condamnés à des peines de prison de 2 a 4 ans au criminel.
-A la fin 2006, deux jeunes filles (dont une mère monoparentale sur l'aide sociale) doivent payer 25 000$ pour avoir dit à deux indiens de retourner dans leur pays.
-En 2007, un tenancier de bar de Longueuil doit payer 20 000$ à un noir pour lui avoir interdit l'entrée. Auparavant, des membres de gang de rue étaient venus intimider les clients du bar à plusieurs reprises.
-En 2006, la Commission des Droits de la Personne de la Saskatchewan condamne Bill Whatcott à verser 17 500$ à quatre homosexuels pour avoir exprimer en plublic l'opinion de l'Église catholique sur l'homosexualité.
La liste pourrait être bien plus longue et de nombreux cas au Canada sont actuellement en attente de procès.
Une version internet de la pétition se trouve à l'adresse suivante :
http://www.gopetition.com/petitions/a-free-dominion-against-the-hrcs.htmlanti_bug_fck
Au Canada, c'est pareil (de même qu'en Allemagne, Belgique etc...) :
Un groupe conservateur canadien-anglais fait circuler présentement une pétition visant à réduire le pouvoir de la Commission des Droits de la Personne. Nous avons remarqué ces dernières années au Canada une augmentation des condamnations pour divers délits "haineux" dépassant largement le cadre des compétences de ce tribunal qui agit en fait en-dehors de la justice canadienne. Ce tribunal, qui agit presque en huit-clos, peut condamner quiconque à des amendes ridiculement élevées et ce malgré le fait que l'accusé ait pu être jugé et condamné par la justice criminelle de sa province. Tout nationaliste (ou même croyant) au pays est maintenant sujet à des poursuites et des amendes s'il exprime ses opinions.
Ces décisions dépassent largement le cadre des discriminations à l'embauche, au travail ou au logement qui étaient au début le champ de compétence de cette Commission. De plus, il est très difficile de gagner une cause devant cette Commission lorsqu'on est défendant.
Dernièrement, cette Commission des Droits de la Personne a même cru bon de s'introduire dans la vie politique du Québec en condamnant et en demandant de retirer le projet de loi du Parti Québécois sur l'identité québécoise. Cela représente une dangereuse dérive. Par quel droit cette commission est-elle apte à donner son opinion sur les projets de loi des partis politiques?
Voici enfin quelques-unes des récentes décisions de cette Commission :
-Le 24 novembre 2007, la Commission ordonné à Paul Fromm de verser 30 000$ à l'avocat anti-raciste Richard Warman pour diffamation sur internet. Paul Fromm est un activiste canadien et anime une émission radio sur Stormfront.
-Au début 2007, deux jeunes skinheads devront verser 50 000$ à leur victime malgré le fait qu'ils ont été condamnés à des peines de prison de 2 a 4 ans au criminel.
-A la fin 2006, deux jeunes filles (dont une mère monoparentale sur l'aide sociale) doivent payer 25 000$ pour avoir dit à deux indiens de retourner dans leur pays.
-En 2007, un tenancier de bar de Longueuil doit payer 20 000$ à un noir pour lui avoir interdit l'entrée. Auparavant, des membres de gang de rue étaient venus intimider les clients du bar à plusieurs reprises.
-En 2006, la Commission des Droits de la Personne de la Saskatchewan condamne Bill Whatcott à verser 17 500$ à quatre homosexuels pour avoir exprimer en plublic l'opinion de l'Église catholique sur l'homosexualité.
La liste pourrait être bien plus longue et de nombreux cas au Canada sont actuellement en attente de procès.
Une version internet de la pétition se trouve à l'adresse suivante :
http://www.gopetition.com/petitions/a-free-dominion-against-the-hrcs.htmlanti_bug_fck
Eglise Catholique lobbys juifs ?
L´ancien officier juif des services de renseignements americains en
Allemagne occupée (c´est´-à-dire espion) et ancien secrétaire
d'Etats des USA, ajoute aujourd´hui une autre "perle" à sa couronne:
Il devient "conseiller auprès du Pape".
D'après le journal italien La Stampa, du 4 novembre2006, le Pape
Benoît XVI a invité Henry Kissinger (agé de 83 ans), a être son
"conseiller politique".
Citant une source diplomatique autorisée du Saint-Siège Apostolique
le journal a rapporté que l'ancien "lauréat du prix Nobel" a été invité
au cours d'une audience privée du Saint Père à faire partie d´"un
groupe de "conseillers" du Pape sur les Affaires Étrangères et
Politiques !
Les observateurs s'interrogent maintenant pour savoir sur quels
problèmes le très machiavélique juif Kissinger pourrait conseillerait
le Saint Père "chrétien" ? Des sources proches du Vatican font savoir
que c´est certainement sur les relations avec l'Islam, la Palestine et
l'Irak. Kissinger s'oppose, en effet, à un retrait rapide des troupes
occupantes de l'Irak. Une des questions qui seraient
vraisemblablement à l'ordre du jour.
On a aussi évoqué ce que pourrait bien conseiller Kissinger, compte
tenu de l'hostilité du monde islamique, au discours pontif aggressif
de Ratisbone et face à la colère croissante des musulmans face à la
guerre "croisade" déclarée par le Pape à la résistance islamique qui
lutte héroiquement contre toutes les occupations au service d´Israel -
en Palestine, en Iraq, en Afghanistan ... et qu il accuse de violence.
Entre autres experts papales réguliérement consultés par le Vatican,
La Stampa, cite le fanatique islamophobe juif Bernard Lewis,
"professeur" aux Etudes Proche-Orientales de l'univezrsité de
Princeton.
Le Pape est aussi intimement lié avec Zbigniew Brzeinski -
aussi un Juif originaire de Pologne - ancien conseiller à la sécurité
auprès du président Carter, ainsi que la juive "italienne" Rita Levi
Montalcini.
Dans ces dernières années d'autres personnalités juives ont été
invitées à faire part de leur "expertise" au Saint Siège, y compris
Paul Wolfowitz - l´idéologue juif de la guerre d'invasion contre
l'Irak, dont le père enseigna quelque temps la physique en Israel
et où sa soeur, citoyenne israelienne, vit encore ; ce Paul
Wolvowitz aussi ex "trotskyste", ex-vice secrétaire d´État à la
défense auprès du Président Bush et actuellement président de la
Banque Mondiale!
La plupart de ces "experts" du Vatican sont des Juifs et
non pas des Catholiques !!!
La nomination de Kissinger semble cependant causer un malaise.
Certains font reproche au Pape de consulter quelqu'un comme le
Juif Kissinger qui s´est surtout identifié avec l'école d'analyse de la
"realpoliitik" juive mettant les les principes de la loi de la jungle au
dessus des considération morale.
Au lieu de s´inspérer des références universelles et morales
chrétiennes partagés avec l´Islam, ce sont des références
machiavéliques et guerrières juives qui semblent guider Benoît
XVI dans ses positions "religieuses" et politiques. C´est ce qu´il veut
bien nous montrer en désignant le juif Kissinger comme son
"conseiller" politique" !
Professeur bourdieuanti_bug_fck
Allemagne occupée (c´est´-à-dire espion) et ancien secrétaire
d'Etats des USA, ajoute aujourd´hui une autre "perle" à sa couronne:
Il devient "conseiller auprès du Pape".
D'après le journal italien La Stampa, du 4 novembre2006, le Pape
Benoît XVI a invité Henry Kissinger (agé de 83 ans), a être son
"conseiller politique".
Citant une source diplomatique autorisée du Saint-Siège Apostolique
le journal a rapporté que l'ancien "lauréat du prix Nobel" a été invité
au cours d'une audience privée du Saint Père à faire partie d´"un
groupe de "conseillers" du Pape sur les Affaires Étrangères et
Politiques !
Les observateurs s'interrogent maintenant pour savoir sur quels
problèmes le très machiavélique juif Kissinger pourrait conseillerait
le Saint Père "chrétien" ? Des sources proches du Vatican font savoir
que c´est certainement sur les relations avec l'Islam, la Palestine et
l'Irak. Kissinger s'oppose, en effet, à un retrait rapide des troupes
occupantes de l'Irak. Une des questions qui seraient
vraisemblablement à l'ordre du jour.
On a aussi évoqué ce que pourrait bien conseiller Kissinger, compte
tenu de l'hostilité du monde islamique, au discours pontif aggressif
de Ratisbone et face à la colère croissante des musulmans face à la
guerre "croisade" déclarée par le Pape à la résistance islamique qui
lutte héroiquement contre toutes les occupations au service d´Israel -
en Palestine, en Iraq, en Afghanistan ... et qu il accuse de violence.
Entre autres experts papales réguliérement consultés par le Vatican,
La Stampa, cite le fanatique islamophobe juif Bernard Lewis,
"professeur" aux Etudes Proche-Orientales de l'univezrsité de
Princeton.
Le Pape est aussi intimement lié avec Zbigniew Brzeinski -
aussi un Juif originaire de Pologne - ancien conseiller à la sécurité
auprès du président Carter, ainsi que la juive "italienne" Rita Levi
Montalcini.
Dans ces dernières années d'autres personnalités juives ont été
invitées à faire part de leur "expertise" au Saint Siège, y compris
Paul Wolfowitz - l´idéologue juif de la guerre d'invasion contre
l'Irak, dont le père enseigna quelque temps la physique en Israel
et où sa soeur, citoyenne israelienne, vit encore ; ce Paul
Wolvowitz aussi ex "trotskyste", ex-vice secrétaire d´État à la
défense auprès du Président Bush et actuellement président de la
Banque Mondiale!
La plupart de ces "experts" du Vatican sont des Juifs et
non pas des Catholiques !!!
La nomination de Kissinger semble cependant causer un malaise.
Certains font reproche au Pape de consulter quelqu'un comme le
Juif Kissinger qui s´est surtout identifié avec l'école d'analyse de la
"realpoliitik" juive mettant les les principes de la loi de la jungle au
dessus des considération morale.
Au lieu de s´inspérer des références universelles et morales
chrétiennes partagés avec l´Islam, ce sont des références
machiavéliques et guerrières juives qui semblent guider Benoît
XVI dans ses positions "religieuses" et politiques. C´est ce qu´il veut
bien nous montrer en désignant le juif Kissinger comme son
"conseiller" politique" !
Professeur bourdieuanti_bug_fck
La France est elle laic ?
Le CRIF ordonne, Sarko s’exécute
Le Canard Enchaîné révèle dans sa dernière édition que le CRIF est intervenu directement auprès de Sarkozy pour exiger que Hubert Védrine, dont le nom avait été avancé, ne soit pas nommé au ministère des Affaires Etrangères. Le message est bien passé. Faut-il s’en étonner ? Ci-dessous l’article du Canard.
“L’ennemi d’Israël”
“Dès que les dirigeants du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) ont appris ce projet du nouveau chef de l’Etat, Roger Cukierman, président sortant du Crif, a appelé au téléphone Claude Guéant pour une violente mise en garde. “On a eu une réunion au Crif, aujourd’hui, et la rumeur d’une nomination de Védrine aux affaires étrangères a circulé. Cela a provoqué la panique parce que, pour nous, Védrine est pire que les anti-israéliens habituels du Quai d’Orsay.” Un peu plus tard, Cukierman a joint directement Sarkozy et lui a dit que la communauté juive prendrait la nomination de Védrine comme un “casus belli”. ll faut le comprendre : Cukierman et ses amis avaient fait campagne pour Sarko en expliquant que la victoire de Ségolène provoquerait le retour de Védrine au Quai !”
Canard Enchaîné du mercredi 16 mai [2007]
Il semble en effet que Monsieur Védrine ne soit pas l'ami des juifs :
http://www.upjf.org/actualitees-upjf/article-12707-142-7-tout-vedrine-internautes-ecrivent-sarkozy.html
Certains vont même jusqu'à avancer que son père était membre de la Cagoule et antisémite :
http://www.israelfr.com/discus/messages/23/6573.html?1016919904
Voir aussi :
http://sarkozy.blog4ever.com/blog/li...25-331280.html
http://revoltes.free.fr/spip.php?article1369
L F Céline "Bagatelle pour un massacre"anti_bug_fck
Le Canard Enchaîné révèle dans sa dernière édition que le CRIF est intervenu directement auprès de Sarkozy pour exiger que Hubert Védrine, dont le nom avait été avancé, ne soit pas nommé au ministère des Affaires Etrangères. Le message est bien passé. Faut-il s’en étonner ? Ci-dessous l’article du Canard.
“L’ennemi d’Israël”
“Dès que les dirigeants du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) ont appris ce projet du nouveau chef de l’Etat, Roger Cukierman, président sortant du Crif, a appelé au téléphone Claude Guéant pour une violente mise en garde. “On a eu une réunion au Crif, aujourd’hui, et la rumeur d’une nomination de Védrine aux affaires étrangères a circulé. Cela a provoqué la panique parce que, pour nous, Védrine est pire que les anti-israéliens habituels du Quai d’Orsay.” Un peu plus tard, Cukierman a joint directement Sarkozy et lui a dit que la communauté juive prendrait la nomination de Védrine comme un “casus belli”. ll faut le comprendre : Cukierman et ses amis avaient fait campagne pour Sarko en expliquant que la victoire de Ségolène provoquerait le retour de Védrine au Quai !”
Canard Enchaîné du mercredi 16 mai [2007]
Il semble en effet que Monsieur Védrine ne soit pas l'ami des juifs :
http://www.upjf.org/actualitees-upjf/article-12707-142-7-tout-vedrine-internautes-ecrivent-sarkozy.html
Certains vont même jusqu'à avancer que son père était membre de la Cagoule et antisémite :
http://www.israelfr.com/discus/messages/23/6573.html?1016919904
Voir aussi :
http://sarkozy.blog4ever.com/blog/li...25-331280.html
http://revoltes.free.fr/spip.php?article1369
Que vous apprend-elle ? ... Ceci : Français ! les Juifs, à partir de ce moment, vous enculent tous ! Comme ils veulent, où ils veulent ! quand ils veulent !... Ce long gode pourri, consacre leur triomphe ! Qu'on se le répète ! Foules ! Pour la paix juive, vous irez demain porter vos tripes aux quatre coins du monde... C'est ainsi cuit ! A genoux peuple !... et silence !... Tendez vos fesses, en attendant de nouveaux ordres et passez la monnaie...
En dépit des apparences, des rodomontades d'Histoire, les Français n'ont jamais eu le sens national. Ils ont fait de nombreuses guerres, très longues et très sanglantes, entre eux et contre l'étranger, mais presque jamais pour leur compte, toujours pour le bénéfice d'une clique étrangère. Successivement colonie romaine et puis italienne, pendant des siècles... à l'Espagnole, à l'Anglaise, à la Germanique, à présent colonie juive, la France se donne en réalité à l'équipe la plus astucieuse, la plus effrontée des gangsters du moment qui la courbent, la bluffent et la saignent...
La France est une nation femelle, toujours bonne à tourner morue. Écoutez les femmes à Victor, comment qu'elles jaspinent à vide sur toutes les courbes de trottoir, dans tous les coins de chiots, à jacter de menues conneries, à s'en faire crever... enragées de mesquines sottises... c'est des "vraies Frances "... La France aussi, comme les femmes à Victor, descend plus bas chaque année dans l'ordre des maquereaux et dans l'ordre des ragots comme toutes les putains. Dans le milieu; examinez les vieilles mômes: elles finissent toutes par les nègres, bien contentes, bien ivrognes, bien régalées, bien enculées, bien battues... La France en est à ce moment au poil! Au moment du nègre. Le Juif dans le cul c'est son bonheur, il la fera crever, c'est son rôle... Le destin est assez simple. Il suffit d'avoir l'expérience.
Tout Français de race qui prend le pouvoir se sent perdu sans étrangers, sans cadres de l'étranger. Il se dépêche tout aussitôt de se vendre, c'est son premier souci... Nous n'avons jamais eu de roi, de président du Conseil, de conventionnel, de "chef" qui n'ait été au moins deux ou trois fois vendu à quelque puissance étrangère. C'est-à dire en définitive à la juiverie.
L F Céline "Bagatelle pour un massacre"anti_bug_fck
Qui sont les négriers qui amènent les esclaves noirs en Amérique
Qui sont les négriers qui amènent les esclaves noirs en Amérique des 15e au
19e siécle ?
L'information ci-dessous se trouve documentée dans les 4 volumes de
Elizabeth Donnan. Ils peuvent être trouvés à la Librairie Nationale de Washington (National Library Washington, D.C.) et à la Librairie de l’Institut Technologique de Carnegie à Pittsburg (Carnegie Institute of Technology Library, Pittsburgh, PA.)
Nom du navire - Propriétaires
Abigail - Aaron Lopez, Moses Levy et Jacob Franks
Crown - Isaac Levy and Natham Simpson
Nassau - Moses Levy
Four Sisters - Moses Levy
Anne and Eliza - Justus Bosch et John Adams
Prudent Betty - Henry Cruger et Jacob Phoenix
Hester - Mordecai et Davdi Gomez
Elizabeth - Mordecai et Davdi Gomez
Antigua - Natham Marston et Abram Lyell
Betsy - William De Woolf
Polly - James De Woolf
White Horse - Jan de Sweevts
Expedition - John et Jacob Roosevelt
Charlotte - Moses et Sam Levy ; Jacob Franks
Caracoa - Moses et Sam Levy
Les marchands d’esclaves et l’Holocauste « négrier »
1- Les oubliés de l’histoire
Les Noirs sont toujours les oubliés de l’histoire, car personne ne s’intéresse à eux. Normal, ils ne possèdent pas encore de « lobbies qui n’existent pas , suffisamment puissants pour négocier directement de leurs réparations légitimes auprès des Etats concernés.
Alors que l’« industrie mémorielle » se rappelle à nos bons souvenirs quasiment tous les jours de l’année 2005, jour du 60ème anniversaire de la chute du régime nazi, qui coïncide parfaitement avec les 6 branches de l’étoile de David et le chiffre des « 6 millions » de « victimes », personne ne se rappelle des Noirs qui sont bien plus nombreux à disparaître de l’esclavagisme qui dure plusieurs siècles . Deux poids, deux mesures, selon que vous êtes puissant et que vous avez le contrôle des médias et des institutions financières ou que vous êtes un « Nègre » misérable auquel on vous refuse - tel l’humoriste Dieudonné -, de faire un film sur le Code Noir
2- Les « Négriers »
Un certain nombre de marchands participent directement à toutes les étapes de ce génocide : dans le choix des « produits », le transport dans leurs « galères » , la gestions des « marchés aux enchères » de leurs « produits », ainsi qu’à leur achat pour l’utilisation à des fins personnelles. Des recherches entreprises par un certain nombre d’historiens de confession juive prouvent aujourd’hui que ces « négociants » sont impliqués de manière totalement disproportionnée - compte tenu de l’importance de leur groupe ethnique -, par rapport aux autres groupes qui en font également commerce. L’immense fortune de ces marchands, ainsi que ceux qui font de l’esclavagisme leur commerce, est obtenue par la « traite des Noirs », du fait de leur couleur de peau, ce qui est aujourd’hui considéré comme un acte violemment raciste.
On peut se poser en effet la question « pourquoi les Noirs » ? La raison en est fort simple. Au début de l’invasion de l’Amérique du Sud, les Indiens sont initialement pris comme esclaves. Mais ils se rebellent, ce qui évidemment pas bon pour les affaires, et meurent lorsqu’ils sont détenus, hors de leur environnement. C’est alors que les commerçants, jamais à court d’inspiration, voient dans les Noirs d’Afrique un excellent « produit », docile et robuste [les théories de Darwin s’appliquent durant le transport et il ne reste que les meilleur à l’arrivée...].
2.1- Retour Historique
Mais on retrouve des traces de l’esclavagisme par les « Négriers » juifs qui en sont les précurseurs, déjà à la fin du 6ème siècle. Lady Magnus écrit qu’au Moyen-âge, les principaux acheteurs d’esclaves se trouvent parmi les Juifs. Elle écrit « A l’époque du pape Grégoire le Grand, [590-604], les Juifs deviennent les plus grands négociants dans ce genre de trafic » [source : Lady Magnus, Esquisses d’histoire juive, Outlines of Jewish History, revues par M. Friedlander Philadelphie : Jewish Publication Society of Amenca, 1890, p. 107 ; Jewish Encyclopaedia, New York & London : Funk and Wagnalls Company, 1905 -1916), vol. 11, p. 402]. L’auteur juif (et sioniste) Julius Brutzkus indique « déjà au 10ème siècle, les Juifs possèdent des mines de sel à Nuremberg. Ils font du négoce d’armes et exploitent les trésors des églises. Mais leur grande spécialité est... l’esclavagisme ». L’encyclopédie juive indique « les premiers Juifs que rencontrent les Polonais sont certainement des négociants, probablement des marchands d’esclaves, appelés au 12ème siècle les Holekhei Rusyah Voyageurs vers la Russie) ». Enfin, Israël Abrahams note qu’au 12ème siècle « les Juifs espagnols [Marranes] doivent leur fortune au négoce d’esclaves ». Mais Henry L. Feingold note qu’en 1460, lorsque les Juifs deviennent les Maîtres des sciences nautiques au Portugal, l’Etat ibérique importe entre 700 et 800 esclaves par an [source : Henry L. Feingold, Le Sionisme en Amérique : L’expérience juive du temps des colonies jusqu’à ce jour - Zion in America : The Jewish Experience from Colonial Times to the Present (New York : Twayne Publishing, Inc., 1974), pp. 42-3]. Le succès de ces marchands médiévaux est accru par leurs talents linguistiques. Ils parlent l’arabe, le persan, le romain, le français, l’espagnol et le slave. Par ailleurs, ils possèdent une vue des affaires toujours en avance sur leur époque qu’il faut leur reconnaître.. Marcus Arkin, l’auteur des Aspects de l’économique historique juive - Aspects of Jewish Economic History (Jewish Publication Society of America, 1975, pp. 44-5), nous révèle que les négociants juifs, dans certaines pays européens « ont un monopole du commerce international », tant et si bien que les termes « Juif » et « marchand » apparaissent comme des synonymes dans les documents carolingiens, ce que confirme également Lady Magnus dans son livre, p. 152.
2.2- Christophe Colomb ouvre la voie
Le 2 août 1492, plus de 300.000 Juifs sont expulsés d’Espagne, mettant également fin à leurs cinq siècles d’implication dans l’esclavagisme dans cette région . En fait, les documents historiques prouvent que certains d’entre eux amassent des fortunes considérables avec des esclaves chrétiens et occupent des postes de premier plan dans la hiérarchie espagnole. Les circonstances économiques les réunifient au sein d’une coalition de ravisseurs d’esclaves. Peu de temps après l’expulsion des Juifs d’Espagne, Christophe Colomb, dont le nom est en réalité Cristobol Colon, embarque un groupe de réfugiés juifs avec lui vers le nouveau monde (source : Max J. Kohler, Luis De Santangel and Columbus, PAJHS, vol. 10 (1902), p. 162). Dans son journal, Colomb lui-même attire l’attention sur la coïncidence de ce premier voyage avec l’expulsion des Juifs d’Espagne dans le passage suivant : « Après avoir expulsé les Juifs de son Empire, son Altesse, le même mois de janvier m’ordonne de voguer vers les dits territoires des Indes ». La reine Isabelle signe le décret quasiment le même jour que Colomb commence son voyage. George Cohen, parmi les nombreux historiens juifs, précise que de nombreux Juifs fortunés financent l’expédition de Colomb. L’histoire des bijoux d’Isabelle n’est fondée sur aucun fait, mais relève plus du mythe destiné à glorifier la reine.
Trois marranes participent financièrement à cette aventure :
Luis de Santagel (ou Santangelo) [le premier décret royal pour exporter du grain et des chevaux vers l’Amérique est accordé à Luis de Santangel qui est reconnu comme étant le fondateur des plus grandes industries américaines (source : Cecil Roth, L’histoire des Marranes - History of the Marranos, Jewish Publication Society of America, 1932, pp. 272-73)]. L’historien Kohler, dans son livre « Colomb », p. 159, nous cite une anecdote croustillante : « c’est un fait historique qu’un jour Ferdinand V, souhaitant de l’argent, s’arrête à la maison de Santangelo à Calatayud, pour y obtenir une somme considérable ». « A cette époque, ni Ferdinand, ni Isabelle, n’ont à leur disposition suffisamment d’argent pour armer une flotte » (p. 75).
Gabriel Sanchez, également cité par Kohler dans son livre ci-dessus, p. 160, nous indique « c’est un négociant aisé ».
Le trésorier royal et son assistant Juan Cabrero influencent la reine Isabelle pour les aider à financer le voyage de Colomb. Cabrero et Santangel investissent 17.000 Ducats [soit certainement plus que 150.000 Euros de nos jours]. De même u’Alfonso de la Caballeria et Diego de Deza fournissent également des fonds. Abraham Ben Samuel Zacuto fournit, quant à lui, les équipements d’astronomie et de navigation et Isaac Abravanel l’assiste. Six Juifs en vue accompagnent Colomb dans son périple , parmi lesquels on retrouve : Mastre Bernal, un scientifique ; Marco, a chirurgien ; Roderigo Sanchez, un inspecteur ; Luis de Torres, un interprète ; et Alfonso de la Calle comme marin. Torres s’installe à Cuba et il devient celui qui introduit le tabac en Europe, exporté de ses vastes plantations. La relation entre les Juifs et la découverte de l’Amérique n’est pas une coïncidence fortuite. L’expédition de 1492 n’est que le résultat d’une entreprise essentiellement juive ou marrane.
2.3- Colomb est-il un marchand d’esclaves ?
Sir Arthur Helps écrit que dans ses lettres, Colomb parle « de ses habitudes de pratiquer la traite d’esclaves ». En 1498, ses cinq navires ramènent 600 Indiens en Espagne comme esclaves. 200 sont donnés aux capitaines des navires et 400 sont vendus. Colomb emploie également la main-d’œuvre des esclaves avant même de s’embarquer vers le nouveau monde. Il participe à la création d’une colonie à San Jorge El Mina, située au Ghana, en Afrique de l’ouest. Au nouveau monde, Colomb force les Indiens en esclavage pour trouver de l’or qui est son objectif. Il n’en ramène que l’équivalent de 6 millions d’Euros en 20 ans, au prix de la vie d’un million et demi d’Indiens, soit très exactement 4 Euros par vie humaine ! Que Christophe Colomb soit Juif ou pas, comme le proclame de nombreux historiens juifs, il n’en demeure pas moins que ses expéditions sont financées par des investisseurs juifs. Les joyaux de la reine Isabelle ne sont qu’un mythe, mais les Marranes sont bien réels !
3- L’esclavagisme des colonies d’Amérique du Sud et des Caraïbes
Les négociants d’esclaves juifs fournissent des Noirs par dizaines de milliers vers les plantations d’Amérique du sud et des Caraïbes. On ne retrouve plus aujourd’hui de trace écrite de protestation contre ce comportement. C’est alors une affaire purement commerciale dans laquelle la religion n’intervient nullement. Daniel M. Swetschinski estime que la part des négociants juifs dans les affaires internationales est alors disproportionnée. Ils représentent 75% des affaires mercantiles alors qu’ils ne constituent que 10% de la population. Cette domination du marché des esclaves les met en position d’équilibre avec les autres communautés. Les planteurs de sucre au Brésil utilisent abondamment cette main d’œuvre d’esclaves d’Indiens et de Noirs, fournie par les négociants juifs. Dans les années 1600, les plantations qui constituent la majeure partie du réservoir d’esclaves avec quasiment 10.000 Africains et l’exportation du sucre raffiné est dans les mains des négociants juifs. La compagnie hollandaise d’Inde de l’ouest est créée en 1621 dans le seul but de gagner de l’argent. Les Juifs investissent massivement dans l’entreprise qui se destine à toute forme de commerce, y compris l’esclavagisme. Les dirigeants hollandais, en faisant la promotion du développement économique, encouragent ainsi les Juifs à émigrer [très astucieux...] et la Hollande devient très rapidement le centre du pouvoir et de la fortune juive. Marcus Arkin écrit « depuis le développement des industries dans lesquels les Juifs investissent : tailleurs de diamants, sucre, soie, textiles, le mélange du tabac, denrées alimentaires,...) sont dépendantes des colonies, il n’est nullement surprenant que de retrouver les Juifs d’Amsterdam concernés par le commerce vers l’Asie et le nouveau monde.
Au 18ème siècle, environ un quart des participations dans les compagnies internationales hollandaises sont détenues par des Juifs et son déclin amène ensuite la ruine de la plupart des familles aisées ».
Le chercheur juif Arnold Wiznitzer est beaucoup plus explicite concernant l’implication des Juifs au Brésil : « A part leur position importante dans l’industrie sucrière, ils dominent le négoce des esclaves . De 1636 à 1645, un total de 23.163 Nègres [dans le texte] arrivent d’Afrique et sont vendus pour 6.714.423 Florins [soit environ 290 Florins par individu, tel est le prix de la vie humaine d’un Noir à l’époque...], Les acheteurs, lors des ventes aux enchères étaient tous Juifs et du fait de ce manque de compétition dans le négoce d’esclaves, ils étaient achetés à vil prix. Par ailleurs, il n’existait pas non plus de compétition pour l’achat des esclaves qui étaient payés à crédit jusqu’à la prochaine saison de vente du sucre. Si les enchères avaient lieu un jour de fête juive, elles étaient automatiquement reportées. ». Moshe Kahan déclare sans ménagements qu’en 1653-1658, « les négociants Juifs-Marranes possédaient le contrôle du commerce espagnol et portugais , donc détenaient quasiment le contrôle du commerce levantin...avaient d’importantes sommes d’argent à leur disposition ». Seymour B. Liebman dans le New World Jewry (Nouveau Monde Juif), indique clairement que « les navires n’appartiennent pas seulement aux Juifs, mais sont commandés par des capitaines juifs avec des équipages composés de Juifs ».
4- L’esclavagisme aux Etats-Unis
L’esclavagisme aux États-Unis commence avec la conquête du nouveau monde. Les navires effectuent alors un triangle entre l’Europe, l’Afrique et les Amériques. Ils vendent des produits manufacturés en Afrique, prennent des esclaves à destination du Brésil, des Caraïbes ou des Etats-Unis et reviennent en Europe avec du sucre et d’autres matières premières. C’est l’art de l’optimisation des investissements dans lequel on peut rendre hommage au génie créatif en affaires des Juifs. Durant quasiment 4 siècles des millions d’Africains sont « exportés » vers les Amériques. Durant le 18ème siècle, les Juifs participent activement dans le négoce d’esclaves. Certains Juifs contrôlent même les marchés où sont fixés les prix, telle une denrée ! Mais on assiste également à des histoires émouvantes de romantisme. C’est ainsi que Aaron Levy, le fondateur de Aaronsburg en Pennsylvanie, achète Rachel, une esclave noire, dans le milieu des années 1780 et l’emmène à Philadelphie. Il la libère, l’éduque et l’épouse. Elle repose désormais dans le cimetière Mikve Israël, à proximité de la tombe de Hayim Salomon, le financier de la Révolution américaine (cf 1776). En 1793, Eli Whitney invente le fil à coton et c’est l’envol des plantations de cette matière première consommatrice de main d’œuvre, plus particulièrement d’esclaves bon marché qui fait exploser le marché. L’un des nombreuses études effectuées par Ira Rosenwaike, publiée par l’American Jewish Historical Society (Société d’histoire juive américaine), montre que 75% des Juifs du sud des Etats-Unis possèdent des esclaves noirs [avant l’élection de Lincoln], alors que seuls 36% des Blancs en ont.
Le Rabbin Isaac Meyer Wise , l’un des champions de la réforme libérale juive et le plus actif de tous les Rabbins aux Etats-Unis au 19ème siècle, soutient activement l’esclavagisme des Noirs, appelle Abraham Lincoln un « imbécile » et argumente que les Noirs sont des « bêtes accablantes » [Rappelons que Lincoln est l’un des rares présidents américains qui n’est pas élu avec les voix des Juifs, car il s’oppose à l’esclavagisme et lorsqu’il est élu en 1860, il l’abolit immédiatement, ce qui déclenche la guerre de sécession]. En 1896, un éditorial dans le Jewish South de Richmond, en Virginie, argumente que les « Nègres [dans le texte] sont intellectuellement,moralement et physiquement une race inférieure - un fait que personne ne peut dénier » et, lors de la mort du sénateur [Juif] du Maryland, Isador Rayner, un journaliste noir écrit que Rayner « évoque auprès de ses voisins de couleur les terreurs des pogroms . Lorsque le B’nai B’rith et l’ADL (Ligue anti-diffamation) - organisme contrôlé par les « lobbies qui n’existent pas », l’équivalent de la LICRA (Ligue Internationale contre le racisme et l’antisémitisme) en France - publient leur pamphlet, en 1976, intitulé « Les Juifs américains : leur histoire », sur les 13 pionniers juifs américains, 10 d’entre eux sont liés au négoce de l’esclavagisme ... [comme quoi, plus vous êtes esclavagiste, raciste et antisémite et mieux il est préférable d’adhérer à ce genre d’organisation pour vous donner bonne conscience...] Du reste, les quotidiens suivants : The San Francisco Chronicle, The San Francisco Examiner, The Los Angeles Times et d’autres encore, révèlent depuis de nombreuses années qu’aux Etats-Unis, l’ADL pratique l’espionnage et constitue des dossiers sur 950 organisations et 10.000 individus dont la plupart sont des groupes de Noirs, y compris la célèbre NAACP (National Association for the Advancement of Coloured People ou Association nationale pour l’avancement des personnes de couleur), fondée en 1909 par des groupes de militants multiraciaux. Le Général israélien Moshe Dayan ne dit-il, voici quelques années, pas que les forces militaires américaines se dégradent parce qu’elles sont composées de Noirs « avec peu d’intelligence et aucune éducation ». Il insiste alors pour que les Etats-Unis recrutent « du sang neuf et de meilleurs cerveaux ». Il est considéré comme » un héros dans son pays ! Lorsqu’on leur relate ces faits, certains contradicteurs argumentent sur des points qui prêtent volontiers à sourire.
En voici deux :
le premier, que les négociants juifs sont contraints par les Chrétiens de devenir des marchands d’esclaves et effectuer le « sale boulot » pour leur compte ;
le second, que sans ces marchands, le nombre de victimes, en particulier de la faim, serait encore plus catastrophique !
J’en oublie un dernier, qui correspond à celui qu’ils utilisent en dernier ressort, lorsqu’ils ne trouvent plus d’arguments solides : c’est faire preuve d’antisémitisme que de relater ces faits, car ils ne sont pas représentatifs de la religion juive [nous sommes bien d’accord sur ce point, il ne faut pas généraliser] et ils ne sont pas les seuls à faire ce genre de commerce [nous sommes également bien d’accord sur ce point aussi, ce qui n’exonèrent pas les autres !]. Il n’en demeure pas moins que le mot magique « antisémitisme » est lâché, celui qui fait taire tous les journalistes et ramènent dans le rang de la « pensée unique » tous les Présidents et membres des gouvernements.
Maintenant , j'aimerais avoir votre opinion sur la traite des Blanches qui à lieu
en ce moment même et qui touche des centaines de jeunes femmes des
pays de l'Est qui sont déportées chaque année vers les bordels d'Israel , de turquie...
A ce propos , je vous rappelle que dans ce "magnifique pays" d'Israël
l'esclavage n'y est pas puni et de ce fait autorisé !!!
Pourquoi les noirs me direz-vous , je vous répondrais : La réponse se trouve
dans leurs livres " saints" Torah et Talmud
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19e siécle ?
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Elizabeth Donnan. Ils peuvent être trouvés à la Librairie Nationale de Washington (National Library Washington, D.C.) et à la Librairie de l’Institut Technologique de Carnegie à Pittsburg (Carnegie Institute of Technology Library, Pittsburgh, PA.)
Nom du navire - Propriétaires
Abigail - Aaron Lopez, Moses Levy et Jacob Franks
Crown - Isaac Levy and Natham Simpson
Nassau - Moses Levy
Four Sisters - Moses Levy
Anne and Eliza - Justus Bosch et John Adams
Prudent Betty - Henry Cruger et Jacob Phoenix
Hester - Mordecai et Davdi Gomez
Elizabeth - Mordecai et Davdi Gomez
Antigua - Natham Marston et Abram Lyell
Betsy - William De Woolf
Polly - James De Woolf
White Horse - Jan de Sweevts
Expedition - John et Jacob Roosevelt
Charlotte - Moses et Sam Levy ; Jacob Franks
Caracoa - Moses et Sam Levy
Les marchands d’esclaves et l’Holocauste « négrier »
1- Les oubliés de l’histoire
Les Noirs sont toujours les oubliés de l’histoire, car personne ne s’intéresse à eux. Normal, ils ne possèdent pas encore de « lobbies qui n’existent pas , suffisamment puissants pour négocier directement de leurs réparations légitimes auprès des Etats concernés.
Alors que l’« industrie mémorielle » se rappelle à nos bons souvenirs quasiment tous les jours de l’année 2005, jour du 60ème anniversaire de la chute du régime nazi, qui coïncide parfaitement avec les 6 branches de l’étoile de David et le chiffre des « 6 millions » de « victimes », personne ne se rappelle des Noirs qui sont bien plus nombreux à disparaître de l’esclavagisme qui dure plusieurs siècles . Deux poids, deux mesures, selon que vous êtes puissant et que vous avez le contrôle des médias et des institutions financières ou que vous êtes un « Nègre » misérable auquel on vous refuse - tel l’humoriste Dieudonné -, de faire un film sur le Code Noir
2- Les « Négriers »
Un certain nombre de marchands participent directement à toutes les étapes de ce génocide : dans le choix des « produits », le transport dans leurs « galères » , la gestions des « marchés aux enchères » de leurs « produits », ainsi qu’à leur achat pour l’utilisation à des fins personnelles. Des recherches entreprises par un certain nombre d’historiens de confession juive prouvent aujourd’hui que ces « négociants » sont impliqués de manière totalement disproportionnée - compte tenu de l’importance de leur groupe ethnique -, par rapport aux autres groupes qui en font également commerce. L’immense fortune de ces marchands, ainsi que ceux qui font de l’esclavagisme leur commerce, est obtenue par la « traite des Noirs », du fait de leur couleur de peau, ce qui est aujourd’hui considéré comme un acte violemment raciste.
On peut se poser en effet la question « pourquoi les Noirs » ? La raison en est fort simple. Au début de l’invasion de l’Amérique du Sud, les Indiens sont initialement pris comme esclaves. Mais ils se rebellent, ce qui évidemment pas bon pour les affaires, et meurent lorsqu’ils sont détenus, hors de leur environnement. C’est alors que les commerçants, jamais à court d’inspiration, voient dans les Noirs d’Afrique un excellent « produit », docile et robuste [les théories de Darwin s’appliquent durant le transport et il ne reste que les meilleur à l’arrivée...].
2.1- Retour Historique
Mais on retrouve des traces de l’esclavagisme par les « Négriers » juifs qui en sont les précurseurs, déjà à la fin du 6ème siècle. Lady Magnus écrit qu’au Moyen-âge, les principaux acheteurs d’esclaves se trouvent parmi les Juifs. Elle écrit « A l’époque du pape Grégoire le Grand, [590-604], les Juifs deviennent les plus grands négociants dans ce genre de trafic » [source : Lady Magnus, Esquisses d’histoire juive, Outlines of Jewish History, revues par M. Friedlander Philadelphie : Jewish Publication Society of Amenca, 1890, p. 107 ; Jewish Encyclopaedia, New York & London : Funk and Wagnalls Company, 1905 -1916), vol. 11, p. 402]. L’auteur juif (et sioniste) Julius Brutzkus indique « déjà au 10ème siècle, les Juifs possèdent des mines de sel à Nuremberg. Ils font du négoce d’armes et exploitent les trésors des églises. Mais leur grande spécialité est... l’esclavagisme ». L’encyclopédie juive indique « les premiers Juifs que rencontrent les Polonais sont certainement des négociants, probablement des marchands d’esclaves, appelés au 12ème siècle les Holekhei Rusyah Voyageurs vers la Russie) ». Enfin, Israël Abrahams note qu’au 12ème siècle « les Juifs espagnols [Marranes] doivent leur fortune au négoce d’esclaves ». Mais Henry L. Feingold note qu’en 1460, lorsque les Juifs deviennent les Maîtres des sciences nautiques au Portugal, l’Etat ibérique importe entre 700 et 800 esclaves par an [source : Henry L. Feingold, Le Sionisme en Amérique : L’expérience juive du temps des colonies jusqu’à ce jour - Zion in America : The Jewish Experience from Colonial Times to the Present (New York : Twayne Publishing, Inc., 1974), pp. 42-3]. Le succès de ces marchands médiévaux est accru par leurs talents linguistiques. Ils parlent l’arabe, le persan, le romain, le français, l’espagnol et le slave. Par ailleurs, ils possèdent une vue des affaires toujours en avance sur leur époque qu’il faut leur reconnaître.. Marcus Arkin, l’auteur des Aspects de l’économique historique juive - Aspects of Jewish Economic History (Jewish Publication Society of America, 1975, pp. 44-5), nous révèle que les négociants juifs, dans certaines pays européens « ont un monopole du commerce international », tant et si bien que les termes « Juif » et « marchand » apparaissent comme des synonymes dans les documents carolingiens, ce que confirme également Lady Magnus dans son livre, p. 152.
2.2- Christophe Colomb ouvre la voie
Le 2 août 1492, plus de 300.000 Juifs sont expulsés d’Espagne, mettant également fin à leurs cinq siècles d’implication dans l’esclavagisme dans cette région . En fait, les documents historiques prouvent que certains d’entre eux amassent des fortunes considérables avec des esclaves chrétiens et occupent des postes de premier plan dans la hiérarchie espagnole. Les circonstances économiques les réunifient au sein d’une coalition de ravisseurs d’esclaves. Peu de temps après l’expulsion des Juifs d’Espagne, Christophe Colomb, dont le nom est en réalité Cristobol Colon, embarque un groupe de réfugiés juifs avec lui vers le nouveau monde (source : Max J. Kohler, Luis De Santangel and Columbus, PAJHS, vol. 10 (1902), p. 162). Dans son journal, Colomb lui-même attire l’attention sur la coïncidence de ce premier voyage avec l’expulsion des Juifs d’Espagne dans le passage suivant : « Après avoir expulsé les Juifs de son Empire, son Altesse, le même mois de janvier m’ordonne de voguer vers les dits territoires des Indes ». La reine Isabelle signe le décret quasiment le même jour que Colomb commence son voyage. George Cohen, parmi les nombreux historiens juifs, précise que de nombreux Juifs fortunés financent l’expédition de Colomb. L’histoire des bijoux d’Isabelle n’est fondée sur aucun fait, mais relève plus du mythe destiné à glorifier la reine.
Trois marranes participent financièrement à cette aventure :
Luis de Santagel (ou Santangelo) [le premier décret royal pour exporter du grain et des chevaux vers l’Amérique est accordé à Luis de Santangel qui est reconnu comme étant le fondateur des plus grandes industries américaines (source : Cecil Roth, L’histoire des Marranes - History of the Marranos, Jewish Publication Society of America, 1932, pp. 272-73)]. L’historien Kohler, dans son livre « Colomb », p. 159, nous cite une anecdote croustillante : « c’est un fait historique qu’un jour Ferdinand V, souhaitant de l’argent, s’arrête à la maison de Santangelo à Calatayud, pour y obtenir une somme considérable ». « A cette époque, ni Ferdinand, ni Isabelle, n’ont à leur disposition suffisamment d’argent pour armer une flotte » (p. 75).
Gabriel Sanchez, également cité par Kohler dans son livre ci-dessus, p. 160, nous indique « c’est un négociant aisé ».
Le trésorier royal et son assistant Juan Cabrero influencent la reine Isabelle pour les aider à financer le voyage de Colomb. Cabrero et Santangel investissent 17.000 Ducats [soit certainement plus que 150.000 Euros de nos jours]. De même u’Alfonso de la Caballeria et Diego de Deza fournissent également des fonds. Abraham Ben Samuel Zacuto fournit, quant à lui, les équipements d’astronomie et de navigation et Isaac Abravanel l’assiste. Six Juifs en vue accompagnent Colomb dans son périple , parmi lesquels on retrouve : Mastre Bernal, un scientifique ; Marco, a chirurgien ; Roderigo Sanchez, un inspecteur ; Luis de Torres, un interprète ; et Alfonso de la Calle comme marin. Torres s’installe à Cuba et il devient celui qui introduit le tabac en Europe, exporté de ses vastes plantations. La relation entre les Juifs et la découverte de l’Amérique n’est pas une coïncidence fortuite. L’expédition de 1492 n’est que le résultat d’une entreprise essentiellement juive ou marrane.
2.3- Colomb est-il un marchand d’esclaves ?
Sir Arthur Helps écrit que dans ses lettres, Colomb parle « de ses habitudes de pratiquer la traite d’esclaves ». En 1498, ses cinq navires ramènent 600 Indiens en Espagne comme esclaves. 200 sont donnés aux capitaines des navires et 400 sont vendus. Colomb emploie également la main-d’œuvre des esclaves avant même de s’embarquer vers le nouveau monde. Il participe à la création d’une colonie à San Jorge El Mina, située au Ghana, en Afrique de l’ouest. Au nouveau monde, Colomb force les Indiens en esclavage pour trouver de l’or qui est son objectif. Il n’en ramène que l’équivalent de 6 millions d’Euros en 20 ans, au prix de la vie d’un million et demi d’Indiens, soit très exactement 4 Euros par vie humaine ! Que Christophe Colomb soit Juif ou pas, comme le proclame de nombreux historiens juifs, il n’en demeure pas moins que ses expéditions sont financées par des investisseurs juifs. Les joyaux de la reine Isabelle ne sont qu’un mythe, mais les Marranes sont bien réels !
3- L’esclavagisme des colonies d’Amérique du Sud et des Caraïbes
Les négociants d’esclaves juifs fournissent des Noirs par dizaines de milliers vers les plantations d’Amérique du sud et des Caraïbes. On ne retrouve plus aujourd’hui de trace écrite de protestation contre ce comportement. C’est alors une affaire purement commerciale dans laquelle la religion n’intervient nullement. Daniel M. Swetschinski estime que la part des négociants juifs dans les affaires internationales est alors disproportionnée. Ils représentent 75% des affaires mercantiles alors qu’ils ne constituent que 10% de la population. Cette domination du marché des esclaves les met en position d’équilibre avec les autres communautés. Les planteurs de sucre au Brésil utilisent abondamment cette main d’œuvre d’esclaves d’Indiens et de Noirs, fournie par les négociants juifs. Dans les années 1600, les plantations qui constituent la majeure partie du réservoir d’esclaves avec quasiment 10.000 Africains et l’exportation du sucre raffiné est dans les mains des négociants juifs. La compagnie hollandaise d’Inde de l’ouest est créée en 1621 dans le seul but de gagner de l’argent. Les Juifs investissent massivement dans l’entreprise qui se destine à toute forme de commerce, y compris l’esclavagisme. Les dirigeants hollandais, en faisant la promotion du développement économique, encouragent ainsi les Juifs à émigrer [très astucieux...] et la Hollande devient très rapidement le centre du pouvoir et de la fortune juive. Marcus Arkin écrit « depuis le développement des industries dans lesquels les Juifs investissent : tailleurs de diamants, sucre, soie, textiles, le mélange du tabac, denrées alimentaires,...) sont dépendantes des colonies, il n’est nullement surprenant que de retrouver les Juifs d’Amsterdam concernés par le commerce vers l’Asie et le nouveau monde.
Au 18ème siècle, environ un quart des participations dans les compagnies internationales hollandaises sont détenues par des Juifs et son déclin amène ensuite la ruine de la plupart des familles aisées ».
Le chercheur juif Arnold Wiznitzer est beaucoup plus explicite concernant l’implication des Juifs au Brésil : « A part leur position importante dans l’industrie sucrière, ils dominent le négoce des esclaves . De 1636 à 1645, un total de 23.163 Nègres [dans le texte] arrivent d’Afrique et sont vendus pour 6.714.423 Florins [soit environ 290 Florins par individu, tel est le prix de la vie humaine d’un Noir à l’époque...], Les acheteurs, lors des ventes aux enchères étaient tous Juifs et du fait de ce manque de compétition dans le négoce d’esclaves, ils étaient achetés à vil prix. Par ailleurs, il n’existait pas non plus de compétition pour l’achat des esclaves qui étaient payés à crédit jusqu’à la prochaine saison de vente du sucre. Si les enchères avaient lieu un jour de fête juive, elles étaient automatiquement reportées. ». Moshe Kahan déclare sans ménagements qu’en 1653-1658, « les négociants Juifs-Marranes possédaient le contrôle du commerce espagnol et portugais , donc détenaient quasiment le contrôle du commerce levantin...avaient d’importantes sommes d’argent à leur disposition ». Seymour B. Liebman dans le New World Jewry (Nouveau Monde Juif), indique clairement que « les navires n’appartiennent pas seulement aux Juifs, mais sont commandés par des capitaines juifs avec des équipages composés de Juifs ».
4- L’esclavagisme aux Etats-Unis
L’esclavagisme aux États-Unis commence avec la conquête du nouveau monde. Les navires effectuent alors un triangle entre l’Europe, l’Afrique et les Amériques. Ils vendent des produits manufacturés en Afrique, prennent des esclaves à destination du Brésil, des Caraïbes ou des Etats-Unis et reviennent en Europe avec du sucre et d’autres matières premières. C’est l’art de l’optimisation des investissements dans lequel on peut rendre hommage au génie créatif en affaires des Juifs. Durant quasiment 4 siècles des millions d’Africains sont « exportés » vers les Amériques. Durant le 18ème siècle, les Juifs participent activement dans le négoce d’esclaves. Certains Juifs contrôlent même les marchés où sont fixés les prix, telle une denrée ! Mais on assiste également à des histoires émouvantes de romantisme. C’est ainsi que Aaron Levy, le fondateur de Aaronsburg en Pennsylvanie, achète Rachel, une esclave noire, dans le milieu des années 1780 et l’emmène à Philadelphie. Il la libère, l’éduque et l’épouse. Elle repose désormais dans le cimetière Mikve Israël, à proximité de la tombe de Hayim Salomon, le financier de la Révolution américaine (cf 1776). En 1793, Eli Whitney invente le fil à coton et c’est l’envol des plantations de cette matière première consommatrice de main d’œuvre, plus particulièrement d’esclaves bon marché qui fait exploser le marché. L’un des nombreuses études effectuées par Ira Rosenwaike, publiée par l’American Jewish Historical Society (Société d’histoire juive américaine), montre que 75% des Juifs du sud des Etats-Unis possèdent des esclaves noirs [avant l’élection de Lincoln], alors que seuls 36% des Blancs en ont.
Le Rabbin Isaac Meyer Wise , l’un des champions de la réforme libérale juive et le plus actif de tous les Rabbins aux Etats-Unis au 19ème siècle, soutient activement l’esclavagisme des Noirs, appelle Abraham Lincoln un « imbécile » et argumente que les Noirs sont des « bêtes accablantes » [Rappelons que Lincoln est l’un des rares présidents américains qui n’est pas élu avec les voix des Juifs, car il s’oppose à l’esclavagisme et lorsqu’il est élu en 1860, il l’abolit immédiatement, ce qui déclenche la guerre de sécession]. En 1896, un éditorial dans le Jewish South de Richmond, en Virginie, argumente que les « Nègres [dans le texte] sont intellectuellement,moralement et physiquement une race inférieure - un fait que personne ne peut dénier » et, lors de la mort du sénateur [Juif] du Maryland, Isador Rayner, un journaliste noir écrit que Rayner « évoque auprès de ses voisins de couleur les terreurs des pogroms . Lorsque le B’nai B’rith et l’ADL (Ligue anti-diffamation) - organisme contrôlé par les « lobbies qui n’existent pas », l’équivalent de la LICRA (Ligue Internationale contre le racisme et l’antisémitisme) en France - publient leur pamphlet, en 1976, intitulé « Les Juifs américains : leur histoire », sur les 13 pionniers juifs américains, 10 d’entre eux sont liés au négoce de l’esclavagisme ... [comme quoi, plus vous êtes esclavagiste, raciste et antisémite et mieux il est préférable d’adhérer à ce genre d’organisation pour vous donner bonne conscience...] Du reste, les quotidiens suivants : The San Francisco Chronicle, The San Francisco Examiner, The Los Angeles Times et d’autres encore, révèlent depuis de nombreuses années qu’aux Etats-Unis, l’ADL pratique l’espionnage et constitue des dossiers sur 950 organisations et 10.000 individus dont la plupart sont des groupes de Noirs, y compris la célèbre NAACP (National Association for the Advancement of Coloured People ou Association nationale pour l’avancement des personnes de couleur), fondée en 1909 par des groupes de militants multiraciaux. Le Général israélien Moshe Dayan ne dit-il, voici quelques années, pas que les forces militaires américaines se dégradent parce qu’elles sont composées de Noirs « avec peu d’intelligence et aucune éducation ». Il insiste alors pour que les Etats-Unis recrutent « du sang neuf et de meilleurs cerveaux ». Il est considéré comme » un héros dans son pays ! Lorsqu’on leur relate ces faits, certains contradicteurs argumentent sur des points qui prêtent volontiers à sourire.
En voici deux :
le premier, que les négociants juifs sont contraints par les Chrétiens de devenir des marchands d’esclaves et effectuer le « sale boulot » pour leur compte ;
le second, que sans ces marchands, le nombre de victimes, en particulier de la faim, serait encore plus catastrophique !
J’en oublie un dernier, qui correspond à celui qu’ils utilisent en dernier ressort, lorsqu’ils ne trouvent plus d’arguments solides : c’est faire preuve d’antisémitisme que de relater ces faits, car ils ne sont pas représentatifs de la religion juive [nous sommes bien d’accord sur ce point, il ne faut pas généraliser] et ils ne sont pas les seuls à faire ce genre de commerce [nous sommes également bien d’accord sur ce point aussi, ce qui n’exonèrent pas les autres !]. Il n’en demeure pas moins que le mot magique « antisémitisme » est lâché, celui qui fait taire tous les journalistes et ramènent dans le rang de la « pensée unique » tous les Présidents et membres des gouvernements.
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40.000 voitures brûlées en 2007
Pour Alain Bauer, président de l’Observatoire national de la délinquance, le nombre de voitures brûlées en 2007 dépassera 40 000. Le phénomène reste constant depuis plusieurs années. Les incendies de voitures à l’année se compteraient à raison de 70 à 80 par nuit en moyenne, et plus du double le week-end. Les motivations des auteurs auraient été étudiées :
• 30 % des cas seraient une fraude à l’assurance.
• 10%-15% des cas : véhicules volés, puis incendiés pour détruire traces et empreintes.
• 55%-60% des cas : violence urbaine ou vengeance privée.
http://www.lefigaro.fr/actualites/2008/01/02/01001-20080102ARTFIG00010-plus-de-voituresont-brule-l-an
Professeur juif admet possibilité de meutres rituels d'enfant
Le professeur israelo-italien Ariel Toaff a sorti un livre dans lequel il admet la possibilité des meutres rituels d'enfants goys par les juifs pendant le Moyen-Age, en étudiant les déclarations lors des interrogatoires enregistrés de l'époque.
"In interviews with the Italian news media and in parts of his book, Toaff has suggested some ritual murders might have really taken place, committed by Ashkenazi Jews "
http://www.canadaeast.com/ce2/docroo...ticleID=100903
Les juifs sont alarmés par ce faux-pas, et Toaff, qui a subi un blâme de son université (Bar Ilan), et dont le livre a été épuisé après un jour, ne veut pas qu'il soit réédité.
http://www.jpost.com/servlet/Satelli...cle%2FShowFull
http://zionism-israel.com/israel_new...ilan-prof.html
Si vous lisez l'italien, voici un article intéressant, et il semble qu'on puisse encore commander le livre sur bol.it
http://www.imra.org.il/story.php3?id=33007
http://www.bol.it/libri/scheda/ea978881511516.htmlanti_bug_fck
"In interviews with the Italian news media and in parts of his book, Toaff has suggested some ritual murders might have really taken place, committed by Ashkenazi Jews "
http://www.canadaeast.com/ce2/docroo...ticleID=100903
Les juifs sont alarmés par ce faux-pas, et Toaff, qui a subi un blâme de son université (Bar Ilan), et dont le livre a été épuisé après un jour, ne veut pas qu'il soit réédité.
http://www.jpost.com/servlet/Satelli...cle%2FShowFull
http://zionism-israel.com/israel_new...ilan-prof.html
Si vous lisez l'italien, voici un article intéressant, et il semble qu'on puisse encore commander le livre sur bol.it
http://www.imra.org.il/story.php3?id=33007
http://www.bol.it/libri/scheda/ea978881511516.htmlanti_bug_fck
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